C‘est toujours un plaisir de croiser des boites à livres pendant l’été et encore plus si l‘on déniche un Camilleri que l’on n‘a pas encore lu dedans. On retrouve ici le commissaire Montalbano dans ses oeuvres, avec l‘atmosphère qui va bien. Cette atmosphère propre au maître du polar italien, avec des dialogues savoureux, une intrigue qui donne du fil à retordre et la sacro-sainte nourriture italienne qui a toujours une place à part dans l‘univers de l‘auteur. Un régal du début à la fin.
Le voleur de goûter, Ed. Pocket, 6,50 euros, 248 pages.